dimanche 18 janvier 2009

A Caroline, mon amour de toujours

Oh Caroline
Toi mon amour
Tu es mon tout
Mon univers
Mon infini
Mon inconnue.


Tu es ce corps
Empli d'amour
Qui fait mes joies
Mes jours, mes nuits
Comble mes rêves
En coeur passion.


Oh Caroline
Toi mon amour
Tu es la mère
De nos enfants
Aux ailes triples
D'anges fragiles.


Tu es ce corps
Fort et charnel
Soutien de vie
Et d'espérance
Le seul chemin
De mon amour.

samedi 17 janvier 2009

Une nuit d'amour


☺ Photographe http://premierspas.skynetblogs.be/post/5015603/tendres-retrouvailles


L'ombre dansait
En plis de cœur
Sur peau passion
En feu de braise.


Eclats d'amour
En corps d'envie
Qui vont et viennent
S'offrent se donnent


En mains caresses
Baisers donnés
Sur seins offerts
Et corps cambrés.


Chemins plaisirs
De doigts croisés
Regards désirs
Baisers sourires.


Pénétration
En va et vient
Plongée jouissance
En communion.


Un monde à part
Unique et beau
Deux corps unis
A l'infini.

vendredi 16 janvier 2009

Une épée de feu


Photographe http://marc-laurentturpin.blogs.allocine.fr/



Telle une épée de feu
Surgit d'un corps de braise
Le fil étincelant
D'une lame diamant
Tranche mon corps matière
En masculinité
Puis perce un rond d'étoile
Et entre dans ce feu
Chemine dans le corps
D'un monde en découvrance.


Par ce questionnement
Du monde de soi même
Il s'en va libérer
Les effluves brillantes
De mes nuits terrifiantes
Par un fil de serpent
Brûlant d'un rouge feu
Au regard de mes peurs
Et de mes illusions
Enfouies en corps désir.


Il se fait noir profond
Hallucine mes nuits
Par mon corps effacé
Me fait entrer en lui
Et plonge en un ballet
De pulsions frénétiques
Lascives extatiques
Mes yeux miroir du temps
Et pointe en feu de terre
Nos vies jaillissement.

jeudi 15 janvier 2009

J'ai déchiré le voile




J’ai déchiré le voile
Le masque d’apparence
De mes habits de scène
Pour me faire présence
En oubli de moi-même.


Ainsi ouvert au monde
J’ai creusé la fracture
De mon corps mis à nu
Pour en ôter la boue
Et expié mes fantasmes.


J’ai ouvert mes blessures
En sang d’un temps perdu
Ricoché de stries rouges
Mon cœur désillusion
Pour finir en beauté.


J’ai offert à la mort
Ainsi débarrassé
D’un corps obsolescent
Le pourquoi du comment
L’aveu d’un temps de vie.


Je me suis fait poussière
En oubli de moi-même
Pour errer dans tes limbes
Et puiser dans tes seins
La vie d’un sang nouveau.


Ainsi devenu toi
Par ton corps souverain
J’aspire à la sagesse
A la vie éternelle
De deux corps fusionnés.