Valsent les peaux, valsent les choix
D'ombres chemin en corps terreux
Qui s'ouvrent en regard miroir
Sur des étendues fulgurantes.
Passent les chemins tortueux
Pour ces ombres de noir forêt
Que filtre d'un regard de puîts
Le vert des pensées éphémères.
Perdus dans des illusions vaines
Le noir de ces chemins de vie
S'ouvre alors en couleur de temps
A travers la fenêtre ouverte.
2009-2016
vendredi 18 septembre 2009
vendredi 11 septembre 2009
Un funambule
Photographe Gabriel LALONDE http://gabriellalonde.blogspot.com
Tel un funambule illusoire
Tournant sur son fil détourné
Dans la poussière tourbillon
Echo de sa vie en lambeaux
Le pendu a gagné sa fin
En verticalité dansante.
Mais par sa mort échec de vie
De son long chemin cendres noires
Qui le vit naître en vie survit
Il sait que son choix ne peut être
Qu'un constat d'inachèvement
D'une vie finalement belle.
Le pendu dans son repentir
Vous regarde de sa hauteur
Et vous somme de vous suspendre
Sur le fil pourri de la vie
Son écheveau entremêlé
Qui fut sa corde de malheur.
Tel un funambule illusoire
Tournant sur son fil détourné
Dans la poussière tourbillon
Echo de sa vie en lambeaux
Le pendu a gagné sa fin
En verticalité dansante.
Mais par sa mort échec de vie
De son long chemin cendres noires
Qui le vit naître en vie survit
Il sait que son choix ne peut être
Qu'un constat d'inachèvement
D'une vie finalement belle.
Le pendu dans son repentir
Vous regarde de sa hauteur
Et vous somme de vous suspendre
Sur le fil pourri de la vie
Son écheveau entremêlé
Qui fut sa corde de malheur.
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