Le noir sied aux images du temps
Car il dévoile des terres d'ombre
Dont la poussière est grenier d'oubli.
Par le blanc de son irrévérence
Il forge en grains de vie des portraits
Aux regards emprunts de solitude.
Il brise ainsi des cercles de coeur
Et referme des mondes de pierre
Dans des paysages embrumés.
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