mercredi 14 novembre 2007

A l’écart de ces temps de geste

A l’écart de ces temps de geste
Défait toi des habits de blanc
Pour ceux d’un quotidien de vie.

Ferme les yeux et ouvre toi
Au monde en images de terre
Longues formes évanescentes.

Laisse s’égarer ton regard
Dans le puits de tes yeux ouverts
Miroir de corps en construction.

Cueille ces images de rêve
Dans les plis bordés de ton corps
Et les champs de ta peau sacrée.

Puis longe les cendres fumantes
Et éloigne les flots de cœur
Perdus dans ces chemins de pluie.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Invitation des mots dans le palais des rêves..
Nefertiti

Philistart a dit…

qui dansent en parfum de sens et d'espérance